EXPOSITION LES ÉNERGIES
14 au 15 octobre 2017 – Espace Chabrillan
10 h – 12 h et 14 h – 17 h
Tout a commencé avec le soleil. Il est la principale source d’énergie sur notre planète. Réserve inépuisable, l’énergie solaire absorbée et transformée par les différentes espèces vivantes, depuis leur apparition sur la terre a permis la constitution de ressources énergétiques fossiles : charbon, gaz, pétrole. Surexploitées par les humains au cours des dernières décennies, ces énergies vont disparaître.
Cette exposition, en portant un regard sur toutes les sources d’énergies disponibles sur terre, veut montrer qu’exploitées sélectivement, certaines sources d’énergies sont appelées à disparaitre mais qu’en plus elles contribuent à polluer l’atmosphère et favorisent le réchauffement climatique.
Au cours d’ateliers, nous montrerons la production d’électricité par des panneaux solaires ou la force physique de l’homme, nous expliquerons certains principes de mécanique (palan, pendule de Newton, rebond).
Une démonstration d’une imprimante 3D viendra compléter cette exposition.
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HYDROÉLECTRICITÉ EN OISANS 801 ANNULÉ
Dans le cadre de la transition énergétique, l’hydraulique, jadis houille blanche, est le plus ancien mode de production d’énergie électrique.
Le matin, visite d’un aménagement en cours de construction. La vallée de la Romanche, équipée dès la fin du 19ème siècle de nombreuses centrales hydroélectriques, est en plein bouleversement. EDF construit un aménagement unique et moderne en remplacement des anciens équipements aujourd’hui obsolètes.
L’après midi sera consacrée à la visite du musée Hydrélec situé un peu plus haut dans la vallée.
Ce musée, récemment modernisé, présente l’histoire de l’hydroélectricité de consommation et de déplacement.
Chaque participant doit être muni d’une pièce d’identité à jour.
Mercredi 11 octobre
Point de RDV habituel à 7 h
Participants : 15
Prix : 74 € (transport en car compris
VÉHICULE AUTONOMES : DE LA PERCEPTION A LA NAVIGATION 802
Olivier SIMONIN, Professeur des universités à l’INSA Lyon
Cette présentation vise à donner un aperçu des principaux enjeux du transport par véhicules autonomes connectés. Nous illustrerons plus précisément des travaux en perception, planification et navigation en environnement dynamique. Il s’agit de mettre l’accent sur les contraintes temps réel (sécurité), sur l’optimisation des trajectoires (temps et confort du transport), sur l’intelligence du véhicule autonome (prise en compte du comportement des piétons et des autres véhicules), appelée navigation sociale, et sur la problématique du passage à l’échelle des flottes de véhicules connectés. De nombreux exemples de travaux menés dans l’équipe Inria CHROMA permettront d’illustrer ces travaux et les enjeux du transport autonome de demain.
Mardi 19 décembre, 18 h 30
Université populaire
Prix : 7, 50 €
POURQUOI LE RÉACTEUR DE RECHERCHE SUR LA FUSION : ITER ? 803
ITER – Dompter les étoiles
Jean FLUCHERE, Ingénieur de l’école Supérieure d’électricité et en génie atomique de l’institut national des sciences et techniques nucléaires
La fusion de 2 noyaux d’atomes légers très abondant dans la nature en un noyau plus lourd permet de produire beaucoup d’énergie.
Pour cela, il faut produire et confiner un plasma dont la température de l’ordre de 30 millions de degrés supérieure à celle qui existe dans nos étoiles. ITER, en construction à Cadarache grâce à une coopération internationale, a cette vocation.
La description de cette machine et de son fonctionnement feront l’objet de la présentation.
Pré requis : se souvenir du théorème d’Einstein établissant l’équivalence entre la masse et l’énergie E = MC2
Lundi 22 janvier, 18 h 30
Changement de salle : université populaire
Prix : 7, 50 €
CLIMAT ET ÉNERGIES 804
Jean FLUCHERE, Ingénieur de l’école Supérieure d’électricité et en génie atomique de l’institut national des sciences et techniques nucléaires.
Sous l’effet du gaz carbonique émis par la combustion du charbon, du pétrole et du gaz, la température moyenne du globe a déjà augmenté de 2 °C depuis le milieu du XIXe siècle, date de la révolution industrielle. Le groupe international d’experts du climat (GIEC) de l’ONU a fait différentes simulations sur l’échauffement planétaire. Ils donnent l’alarme sur le fait qu’une évolution de + 3°C à partir de l’an 2 000 peut aboutir à un emballement en raison du dégel du permafrost Sibérien et de l’acidification des océans.
Comment réduire nos consommations de combustibles carbonés en sachant que la population mondiale atteindra 10 milliards d’habitants en 2050 ? C’est l’enjeu mondial du XXIe siècle.
Lundi 5 mars, 18 h 30
Université populaire
Prix : 7, 50 €
ENTREPRISE REVOL – MAISON DE LA CÉRAMIQUE DE SAINT UZE 805
Le matin : visite de l’entreprise Revol, fabricant de porcelaine culinaire depuis 1789. Installée dans le nord de la Drôme, elle fabrique des ustensiles de table encore conçus à la main pour une finition sans égal. La visite fera découvrir les techniques de fabrication de la pâte, de la décoration et de la cuisson pour obtenir une porcelaine parfaite.
L’après-midi : visite de la maison de la céramique, liée à l’histoire locale, elle présente un panorama complet de la céramique de la préhistoire à nos jours. A travers une muséographie vivante et ludique sont abordés la technique, l’art, l’artisanat, ainsi que les aspects industriels et scientifiques.
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Jeudi 29 mars
Point de RDV habituel à 7 h 45
Participants : 20
Prix : 46, 50 € (transport en car compris)
MESURER ET PILOTER L’EAU 806 ANNULÉ
Annabelle PRIN-COJAN, Association française des Entreprises pour l’Environnement (EpE)
Ressource vitale pour les hommes et tout ce qui vit, l’eau est tout aussi indispensable au fonctionnement des entreprises. La concentration des populations et des activités autour des ressources en eau douce crée des pressions supplémentaires, amenées à s’accentuer avec les effets du changement climatique. Face à ces défis, les entreprises sont conduites à anticiper les risques physiques et sociétaux induits par une pénurie d’eau.
Quelle est la meilleure façon de mesurer son empreinte eau ? Avec quels outils ? Et une fois le constat clairement établi, comment passer à l’action ? Quelles actions mettre en place pour quels résultats ? Quels sont les nouveaux défis ?
La présentation reviendra sur tous ces points en illustrant d’exemples concrets de la pratique des entreprises.
Mardi 3 avril, 18 h 30
Université populaire
Prix : 7, 50 €
CHIMIE DU VIVANT ET BIOÉTHIQUE 807
La Santé face au principe de précaution
Roger GUEDJ, Professeur des Universités
Lors du sommet de la Terre réuni à Rio en 1992, le principe de précaution qui ne concernait que les domaines de l’environnement et de la diversité biologique fut ainsi énoncé : « L’absence de certitudes, compte tenu des connaissances scientifiques et techniques du moment, ne doit pas retarder l’adoption de mesures effectives et proportionnées visant à prévenir un risque …. ».
Mais toute la difficulté d’application de ce principe vient du fait que la précaution, contrairement à la prévention, se penche sur les risques probables non encore confirmés scientifiquement, mais dont la possibilité peut être identifiée par la science. Dés lors s’affrontent deux courants de pensée, diamétralement opposés, ceux qui estiment que la précaution est un frein au progrès scientifique et ceux qui voient dans le principe de précaution, une manière d’interroger la science en la stimulant pour tenter de répondre aux questions posées par les risques plausibles.
Ces questions seront discutées dans les trois domaines de la santé : la médecine de soins, la santé publique et la recherche médicale.
Vendredi 27 avril, 18 h 30
Université populaire
Prix : 7, 50 €